29.11.2021
Un nouvel outil de surveillance environnementale pour l’évaluation du risque d’émergence de la schistosomiase.
IAGE a développé une méthode de détection à partir d’ADN environnemental (ADNe) extrait d’eau de mer qui a permis de détecter l’hôte primaire du ver parasite responsable de la schistosomiase, maladie aiguë et chronique transmise par les eaux infestées. La transmission de la schistosomiase est avérée dans 78 pays et on estimait en 2019 qu’au moins 236,6 millions de personnes avaient besoin d’un traitement préventif contre la schistosomiase, alors que le nombre des personnes traitées était de 105,4 millions (source OMS). La méthode développée par IAGE pourrait donc permettre de mieux identifier les personnes nécessitant un traitement préventif.